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Cougar baisée par un jeune à grosse bite
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 17/05/2012

Bonsoir, je suis Carine. J’avais écrit la première fois pour raconter comment j’ai découvert mon attirance pour les très jeunes hommes, un jour que mon fils avait invité ses amis dans notre piscine et que j’avais fini entre les mains de l’un d’eux. Depuis, je suis devenue une vraie ogresse. J’ai déjà raconté plusieurs histoires qui me sont arrivées (en même temps il n’est pas très difficile d’attirer l’attention de jeunes hommes chauds comme la braise quand on est une femme mûre bien roulée qui montre clairement qu’elle en veut...). Si je le pouvais, je sauterais sur tous les amis de mon fils mais ce serait quand même risqué : je ne voudrais pas qu’il s’aperçoive de quelque chose. cela dit, ça l’amuserait peut-être, je ne sais pas.

La dernière histoire qui m’est arrivée est encore à dormir debout. J’ai encore du mal à croire que ça s’est vraiment passé. Mais il m’en reste des traces qui le prouvent... Vous comprendrez après.

J’avais décidé d’emmener mon fils dans une expo artistique, et, comme d’habitude, il a avait trouvé un prétexte pour ne pas venir. Je tenais à voir cette exposition et je ne voulais pas y aller seule. J’ai donc fait appel à une amie, Maeva, qui a décliné aussi l’invitation ! Elle voulait rester avec son fils, Julien, un petit vicieux timide et coincé qui ne la quittait jamais, bien qu’il ait déjà dix-huit ans, et qui ne voulait pas l’accompagner parce qu’il passait la journée avec son meilleur copain, un certain Josh. Le Josh en question faisait partie de ceux que j’avais vus tout nus la fameuse nuit derrière mon volet... Et j’en avais gardé un très bon souvenir ! C’était un drôle de garçon, dont le jeu permanent était de jouer les petits obsédés, sans qu’on sache si ce n’était pas un peu le cas ou s’il jouait vraiment. Il faisait rire tout le monde avec ça, en tout cas, mais mettait mal à l’aise les filles de leur bande, d’après mon fils. Il faut dire que malgré ses dix-neuf ans, il était haut comme trois pommes mais avait la réputation d’être « monté comme un poney », d’après une conversation téléphonique que j’ai surprise un jour et qui a confirmé ce que j’avais bien cru voir dans la pénombre...

C’est peut-être ce qui m’a décidée à passer voir la copine quand même, sous prétexte de la décider. Arrivée chez Maeva, je n’ai pas pu m’empêcher de faire des petits sourires discrets et ambigus au fameux Josh. J’ai compris après que c’était pour ça qu’il a convaincu Julien d’aller tous ensemble au musée.

Nous voilà donc tous partis, moi bavardant avec Maeva, les deux garçons chuchotant en ricanant tout en me regardant. Si je n’avais pas deviné que c’était plus par désir qu’autre chose, je me serais fâchée, mais j’avoue que leur réaction bête me flattait d’une certaine façon.

Avant d’aller voir l’expo, j’ai voulu aller aux toilettes. J’ai donc laissé le petit groupe. Les toilettes des dames étaient fermées pour nettoyage. J’ai donc dû aller dans celles des messieurs. J’avais à peine fermé la porte de mon WC que j’ai entendu la voix des deux garçons, qui étaient entrés pour aller aux urinoirs... Ils ne savaient pas que j’étais là et ce que j’ai entendu a confirmé plusieurs de mes hypothèses. Je vous reconstitue le dialogue :
Julien : Ouah l’engin !
Josh : T’as jamais vu une bite ou quoi ?
Julien : Si mais t’es vraiment un cas, je m’y habitue pas : t’es un vrai nain ! Haut comme trois pommes et une bite de poney !
Josh : Et encore, t’as rien vu, là je bande pas... mais si la copine de ta mère continue à me mater le bermuda, ça va peut-être arriver et elle en aura pour son argent parce qu’il est fin et j’ai pas mis de calbut donc ça va la choquer ! Jme la ferais bien d’ailleurs
Julien : T’es con ! Fais pas le con devant ma mère en tout cas abruti !
Josh : T’inquiète ! En même temps si je bande j’y peux rien !
Julien : Pff t’es vraiment con !

Cette conversation m’avait fait trembler. J’étais déjà attiré par ce jeune avant et là je n’arrivais plus à ne pas penser à sa fameuse « bite de poney ! »

Nous voilà donc partis pour voir l’expo et Josh s’est dépassé ! A chaque fois que je voulais lire un petit panneau explicatif placé devant une sculpture à 50 cm du sol, il se plaçait juste à côté et faisait des étirements qui lui découvraient le ventre et qui laissaient deviner en effet l’absence de sous-vêtements car il portait son bermuda un peu trop grand très bas et on ne voyait pas dépasser l’habituel haut du caleçon. Surtout, la petite secousse qu’il faisait en s’étirant faisait remuer son gros sexe sous le tissu à chaque fois. et je ne pouvais pas m’empêcher de regarder.

La dernière salle de l’expo a été très gênante. Il s’agissait d’évocations de corps féminins stylisés mais mettant en évidence de façon provocante et sensuelle tout ce qui pouvait intéresser un garçon. Josh a évidemment ricané devant un Julien, de plus en plus gêné, à la fois parce que sa mère était là, un peu plus loin et parce que... Josh s’est mis à avoir une érection intempestive... Ce n’était pas à proprement parler une bosse mais un manche ! Le long de la cuisse droite, une sorte de manche à balai s’allongeait à vue d’œil, d’abord vers le bas, puis tirant sur le tissu. Il fallait le voir pour le croire. Julien était rouge et tentait de faire diversion auprès de sa mère, qui m’a fait quand même un petit clin d’œil amusé. Josh, lui, était aux anges. Il faisait comme si tout était normal, avec son manche de pioche qui tirait sur la jambe droite de son bermuda, tellement fin qu’on pouvait même deviner la forme du gland. J’avais chaud ! J’ai déboutonné deux boutons de mon chemisier et j’ai compris, trop tard, qu’il l’avait interprété comme une provocation. Au dernier panonceau, il s’est de nouveau mis devant moi et j’ai vu clairement des petites secousses sous le tissu : son érection durcissait encore par saccades. Je me suis même dit qu’il devait avoir mal !

En sortant de l’expo (j’avoue que j’étais trop perturbée pour m’y intéresser vraiment), Maeva a proposé de prendre un verre dans la cafétéria du musée. J’avais besoin de souffler. Je leur ai dit de commander pour moi un thé pendant que j’allais de nouveau aux toilettes.

Cette fois celles des messieurs étaient fermées pour nettoyage. Je me suis engouffrée dans celle des dames, cette fois. J’avais à peine mis un pied dans le WC du fond (je m’y sens toujours plus à l’aise, comme plus loin de tout le monde) quand la porte s’est ouverte. Je me suis retournée machinalement et j’ai été pétrifiée en voyant arriver... Josh. En fait il n’y avait rien d’extraordinaire : les toilettes des hommes étaient fermées et il venait logiquement dans celles des femmes. Je n’ai pu m’empêcher de plaisanter. Je me suis entendue dire : « tout à l’heure j’ai pourtant cru que j’avais affaire à un vrai garçon... » (blague douteuse qui était vraiment déplacée mais c’était trop tard). Réponse : « Si vous avez des doutes, c’est le moment où jamais de les lever ! » J’aurais dû sourire et fermer la porte. Au lieu de ça, machinalement, j’ai baissé les yeux sur son bermuda. Il bandait encore ! Et je n’ai pas su quoi répondre. Je me suis sentie bête, troublée.

« Vous voulez ? » Pour la première fois, je le sentais intimidé. Audace forcée. Il tremblait. Moi aussi et je n’ai su que hocher la tête. En un bond, il était dans ma cabine de WC. Je me suis assise, lui debout devant moi. Il m’a pris la tête et a frotté mon visage contre son sexe à travers le tissu. « Alors je suis un garçon ou pas ? » Il devenait dominateur, ivre de sa puissance sur une femme qui avait l’âge de sa mère. Comme fou. Il s’est penchée et j’ai cru entendre ces mots dans mon oreille : « suce ma grosse bite de poney, vieille salope ». Je pense que c’était un mélange d’humour, de provocation, d’influence des films porno qu’il devait regarder ou je ne sais quoi. J’en suis restée bouche bée et lui en a profité pour baisser d’un coup son bermuda et pour m’enfiler directement son pénis.

J’avais oublié de préciser que cette fameuse cabine était, heureusement, le « modèle handicapé » et qu’il y avait vraiment beaucoup de place.

En tout cas je sens encore le coup de son gland au fond de ma gorge, pendant qu’il me malaxait les seins comme un forcené. Il me faisait presque peur malgré sa petite taille. La comparaison avec un poney était parfaite : un jeune cheval devenu fou et qui voulait me sauter dessus, voilà ce qu’il était.

Avant même de réagir j’ai entendu : « couche-toi par terre salope ! » Je me suis exécutée et il m’a littéralement arraché le slip sous ma jupe. La dentelle a craqué sous ses doigts tremblants. Encore quelque chose qu’il avait dû voir dans un film porno : ne pas enlever le slip, l’arracher, le déchirer pour faire peur. C’est là qu’il ma mordu les seins, vraiment très fort. Plusieurs jours après, j’avais encore la marque.

Dès que je lui ai dit d’arrêter, il a commencé à me donner des coups de butoir entre les cuisses avec son sexe. J’en avais envie mais je résistais. Un mélange de peur, de peur de lui ou bien du plaisir trop intense ? En tout cas, ça l’a excité encore plus : « écarte tes cuisses salope, je vais te faire jouir avec ma grosse bite dans ta ptite chatte mouillée ».

Là il m’a pénétrée comme jamais un homme ne l’avait fait : avec une brutalité qui allait m’arracher un cri si, par précaution, il n’avait pas mis sa main sur ma bouche en enfonçant d’un coup de rein son sexe. Là il m’a fait basculer sur lui parce qu’il voulait profiter du peu de temps dont nous disposions pour s’occuper de mes fesses avec ses mains pendant qu’il frottait son sexe dans le mien.

Je ne respirais plus, je haletais, et j’ai juste eu le temps de reprendre mon souffle avant qu’il se précipite pour engouffrer son pénis dans ma bouche avant une éjaculation interminable.

Tout ça en trois minutes !

Il faudra que je revoie ce garçon...

 

 

 
 

 

 

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